Semblable à Benvenuto Cellini, Andrea Bassani cisèle ses poèmes tel un orfèvre. Musicien du cœur, le son de ses mots, de ses phrases, de ses vers s’envolent dans l’air d’un doux printemps s’il est heureux, d’un frileux hiver s’il est triste. Mais sa musicalité s’enfonce aussi à l’intérieur de notre âme. Dans ce cas, sesContinua a leggere “Nota critica di Bernard Tiburce (Bibliothécaire, Centre Pompidou – Parigi)”